On 27 September 2024, the Rwanda Ministry of Health announced the confirmation of Marburg virus disease (MVD). Blood samples taken from people showing symptoms were tested by real-time reverse transcription polymerase chain reaction (RT-PCR) at the National Reference Laboratory of the Rwanda Biomedi...cal Center and were positive for Marburg virus. As of 29 September 2024, a total of 26 confirmed cases, including eight deaths have been reported. The cases are reported from seven of the 30 districts in the country. Among the confirmed cases, over 70% are healthcare workers from two health facilities in Kigali.
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Principaux faits
D’après les estimations, 6 à 7 millions de personnes dans le monde sont infectées par Trypanosoma cruzi (T. Cruzi), le parasite responsable de la maladie de Chagas. La plupart de ces personnes vivent en Amérique latine.
La transmission à l’être humain se fait principalem...ent, en Amérique latine, par l’intermédiaire d’un insecte appelé triatome, qui peut être porteur de T. cruzi.
Parmi les autres modes de transmission de la maladie de Chagas, figurent : la transmission orale (par voie alimentaire), la transfusion de sang ou de produits sanguins, la transmission mère-enfant (congénitale), la transplantation d’organes et les accidents de laboratoire.
La maladie de Chagas ne touchait auparavant que des zones rurales de la Région des Amériques, et surtout de l’Amérique latine. Ces dernières décennies, toutefois, les mouvements de population ont fait que la plupart des personnes infectées sont des habitants de zones urbaines (urbanisation) et que la maladie s’est propagée à d’autres continents (où T. cruzi se transmet par des voies non vectorielles).
L’infection à T. cruzi est curable si un traitement est instauré rapidement après l’infection.
Chez les personnes infectées de façon chronique, un traitement antiparasitaire peut éventuellement prévenir ou enrayer la progression de la maladie, et éviter sa transmission, notamment de la mère à l’enfant.
Jusqu’à 30 % des personnes infectées de façon chronique présentent des troubles cardiaques, et jusqu’à 10 % d’entre elles souffrent de troubles digestifs et/ou neurologiques, ce qui peut imposer un traitement particulier.
Les principales méthodes de prévention de la maladie de Chagas en Amérique latine sont la lutte antivectorielle ainsi que d’autres stratégies visant à réduire la transmission vectorielle.
Dans le monde entier, le dépistage sanguin joue un rôle crucial dans la prévention de l’infection par transfusion ou transplantation d’organes.
Il est essentiel de détecter et de traiter l’infection chez les femmes et les filles en âge de procréer, ainsi que de soumettre tout nouveau-né et ses frères et sœurs à un dépistage dans le cas où la mère est infectée et n’a jamais reçu de traitement antiparasitaire.
Certains facteurs socio-économiques et environnementaux influent fortement sur la maladie de Chagas, dont la propagation et les différentes dimensions interdépendantes justifient la nécessité de mettre en œuvre des stratégies de lutte multisectorielles.
Quelques pays ont mis en place la notification et la surveillance des cas aigus et chroniques et des voies de transmission actives, qui sont essentielles à la lutte contre la maladie de Chagas.
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The guidelines are to be used to guide the management of adults with lower respiratory tract infection (LRTI). As will be seen in the following text, this diagnosis, and the other clinical syndromes within this grouping, can be difficult to make accurately. In the absence of agreed definitions of th...ese syndromes these guidelines are to be used when, in the opinion of a clinician, an LRTI syndrome is present. The following are put forward as def-initions to guide the clinician, but it will be seen in the ensuingtext that some of these labels will always be inaccurate. These definitions are pragmatic and based on a synthesis of available studies. They are primarily meant to be simple to apply in clinical practice, and this might be at the expense of scientific accuracy. These definitions are not mutually exclusive, with lower respiratory tract infection being an umbrella term that includes all others, which can also be used for cases that cannot be classified into one of the other groups. No new evidence has been identified that would lead to a change in the clinical definitions,which are therefore unchanged from the 2005 publication.
Clin Microbiol Infect 2011;17(Suppl. 6): 1–24 The full version of these guidelines can be found on Wiley Online Library.
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